Le rapport d'activités de la FCCQ 2023-2024

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Mauricie

La FCCQ a tenu des consultations au printemps 2024 pour demander à ses membres et son réseau de chambres de commerce quelles étaient les priorités dans leur région en ce qui à trait aux infrastructures de transport.

Les constats ci-dessous sont le résultat de ces rencontres.  Noter que cette page sera mise à jour périodiquement. Pour consulter l’étude au complet, cliquer ici.

Infrastructures de transport : constats généraux

La Mauricie requiert de nombreux travaux de réfection et de maintien des infrastructures, avec une attention particulière à l’offre de transport en commun et au réseau ferroviaire. Les changements climatiques affectent le réseau de transport, provoquant des détours qui impactent particulièrement les commerces.

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Transport routier

  • Chemin en direction du parc national de la Mauricie est à refaire et il y a une forte circulation.
  • Route 155 : route en Haute-Mauricie qui est en région éloignée. Une certaine partie de la route est parfois inondée et La Tuque devient inaccessible. Cela a un impact pour les sentiers de motoneige, les pourvoiries, les citoyens, les entreprises, etc. Le seul détour implique de passer par le Saguenay. Hydro-Québec surveille le niveau de l’eau sur la 155 et cette année tout a bien été.
  • Route 359/rang Saint-Mathieu : il y a une demande provenant des entreprises pour réduire la vitesse sur cet axe, car il y a beaucoup d’accidents. C’est toutefois difficile pour le milieu d’intervenir lorsqu’il s’agit d’une route numérotée.
  • Ponts de Trois-Rivières : les deux ponts sont actuellement en travaux. Ce n’est pas convivial de traverser présentement, mais la situation est mieux que dans le Centre-du-Québec.
  • Halte touristique de Saint-Boniface & Saint-Jean-des-Piles : il faudrait effectuer des travaux, car elle est en mauvais état en ce moment.
  • Route 349 : près de la Rivière du Loup, il y a le même chemin qui est souvent inondé et cela cause des détours importants
  • Chemin du Roy : certains tronçons sont plus difficiles d’atteintes.

 

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Transport ferroviaire

  • Le chemin de fer est vieillissant et lorsqu’il y a des réparations les villes ne sont pas avisées à l’avance même si elle doit participer financièrement.
  • Le trajet est extrêmement long, car le transport de marchandises est priorisé. Les gens qui s’en servent le font plus pour l’expérience en soi et non pas par utilité. Avant, il y avait l’ancienne gare au centre-ville de Trois-Rivières, mais maintenant elle a été convertie en bureaux.

 

Transport en commun

  • Il y a une problématique au niveau de la mobilité en Mauricie. Le transport en commun n’est pas ancré dans leur pratique principalement, car il n’y a à peu près pas de service entre les régions. Par exemple, il n’y a aucun corridor de transport en commun existant entre Shawinigan et Trois-Rivières.
  • Un jour il y aura possible un TGV, mais ça ne réglera pas la question de comment on déplace les gens sur le reste du territoire.

 

Transport par traversier

  • Avant il y avait un traversier en Mauricie, mais le service a été fermé.

 

Autres informations pertinentes

  • En lien avec l’environnement, souvent on construit des infrastructures là où la nature passe. Cela fait en sorte qu’on doit vivre avec les conséquences (par ex. inondations).
  • Le principal enjeu en maintien d’actifs est le financement. Cela met du poids supplémentaire sur les municipalités.

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