Communiqués
6 mars 2024
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6 mars 2024
Montréal, le 6 mars 2024 – La Fédération des chambres de commerce du Québec (FCCQ) souhaite que le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) recommande au gouvernement la réalisation du projet éolien Des Neiges – Secteur Sud en raison de l’impact très faible du projet sur son milieu et des immenses besoins en énergie propre du Québec.
La FCCQ témoigne d’ailleurs aujourd’hui même à l’audition publique du BAPE, en appui à ce projet de 400 MW qui serait situé dans la MRC de La Côte-de-Beaupré.
Le mémoire déposé au BAPE par la FCCQ est disponible en ligne.
La région de la Capitale-Nationale compte déjà quelques parcs existants et son potentiel éolien est parmi les plus intéressants au Québec. Le projet Des Neiges – Secteur Sud s’inscrit donc dans un cadre national et régional favorable à sa réalisation. Il engendrerait des retombées économiques importantes pour la MRC et la région, incluant 500 emplois pendant sa phase de construction jusqu’en 2026 et 15 emplois pendant sa phase d’opération, d’une durée prévue de 30 ans. Son promoteur, la Société de projet BVH1, est un partenariat entre trois sociétés québécoises : Boralex, Énergir et Hydro-Québec.
Citations :
« Les besoins du Québec en électricité propre sont immenses et commandent des actions importantes de la part de tous les acteurs de la société, afin d’en augmenter la production aussi rapidement que possible. La filière éolienne est solidement implantée en tant que composante essentielle de notre portefeuille énergétique. Son coût de revient est compétitif et les parcs éoliens peuvent être déployés rapidement dans une variété de régions, à proximité du réseau de transport électrique existant », a souligné Charles Milliard, président-directeur général de la FCCQ.
« Dans le contexte actuel où la demande ne suit pas suffisamment l’offre, le Québec ne peut se passer de ce projet qui ajouterait 400 MW d’électricité propre au réseau d’Hydro-Québec, permettant la réalisation de projets d’électrification des transports, de décarbonation d’activités industrielles et de développement économique durable », a poursuivi Charles Milliard.
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